Pourquoi barrer la vue avec un grand arbuste et des peupliers ? N'est-ce pas empêcher le regard de s'évader sur un bel horizon ? Mon intention est de montrer mon regard de naturaliste. Ainsi je désire conduire le regard à se perdre en quelque sorte dans les recoins végétaux.
«Rhus typhina» Acrylique sur panneau, 40x61cm - 2006 (prix:760$)
Quand le mois de novembre arrive, je me réjouis de la variété des teintes et des couleurs qu'offre la nature. Les couleurs de l'été se sont fatiguées, tout semble usé et nu. C'est une belle occasion de découvrir les subtilités qu'offre la gamme des gris, des ocres et des bruns. Couleurs qu'on aime peu en général. De plus, c'est aussi une belle occasion de découvrir des structures que l'on ne remarque guère en été. Par exemple, le tronc des arbres. La texture d'une épinette ne ressemble pas à celle d'un pin. Il faut se promener longuement dans les bois, les champs et les jardins de novembre pour découvrir ces belles impressions durables.
«Au mois de novembre» Acrylique sur panneau, 30x61cm - 2005 (prix:620$)
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«Paysage imaginé» Acrylique sur panneau, 30x61cm - 2011 (prix:800$)
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«Cerisier» Acrylique sur panneau, 52x54cm -2004 (prix:600$)
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«Fina estampa» Acrylique sur panneau, 30x60cm - 2004 (Coll. privée)
J'ai tenté, avec ce cheval, de me rapprocher d'Alex Colville. Les éléments du tableau semblent flotter comme dans un rêve - c'est du moins ce que j'ai tenté de suggérer.
«Le cheval» Acrylique sur toile, 20x30cm - 2008 (prix:580$)
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«Les appalaches» Acrylique sur panneau, 38x76cm - 2004 (prix:830$)
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«La tourbière» Acrylique sur panneau, 42x60cm -2004 (Coll. privée)